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acrylique et brou de noix sur papier toilé sans pinceau
(au doigt et avec une petite planchette de bois)
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le papier yupo, ou lanavanguard, est un support hydrophobe .. déconcertant (euphémisme)
nébuleuses (30x40) aquarelle sur papier yupo
comment ça, n'importe quoi ?
OK, n'importe quoi, mais on ne sait jamais (clic)
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huile sur toile 40x50
Puis une dame, à sa haute fenêtre,
Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens,
Que dans une autre existence peut-être,
J'ai déjà vue... et dont je me souviens !
(G de Nerval, Fantaisie)Il fallait peut être, Mona, après tant de pieuses copies, l'audace et l'inconscience d'un pinceau naïf et maladroit, pour découvrir que tu n'as pas toujours été cette dame compassée, fossilisée sous la crasse des siècles, et dont le mystère, pour d'obscures raisons, suscite fantasmes et convoitises...(clic)
Que tu n'es pas que la dame résignée, à l'embonpoint naissant et au long nez, écrasée sous des tonnes de conventions, d'étoffes et de voiles, que la malice brille toujours dans les yeux de la jeune fille que tu es encore, aux joues rondes rosies par quelque jeu ou émotion ...
bonjour, Mona et pardonne le sacrilège...
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Pour pouvoir acquérir les "joueurs de cartes" de Cézanne (183,2 millions d’euros, famille royale du Qatar, 2011) un smicard aurait dû commencer à travailler au néolithique.Et accessoirement faire de vieux os.
Un peu moins de travail, mais à peine, lui aurait été nécessaire pour pouvoir afficher le cauchemar sur les murs de sa hutte, afin d' être sûr de ne pas oublier l'horreur de la condition humaine, surtout la sienne (100,7 millions d’euros en 2006 pour Femme III de Willem de Kooning, 87,8 millions d’euros pour Le Cri d'Edvard Munch).
Alors que pour scotcher Turquoise Marilyn d' Andy Warhol dans la cabine de son camion, (une broutille, 58,6 millions d’euros) il lui aurait suffi de faire quelques heures sup en construisant les Pyramides.
(chiffres ici clic et ici et là sur le web)
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les tournesols de Barbouille sont ici CLIC
Etonnant :
Patient : Vincent Van Gogh. Pathologie : xanthopsie
Les yeux de Van Gogh n'avait pas de problèmes en tant que tels. Mais la consommation de certaines substances le faisait voir jaune. Une boisson très populaire chez les artistes de l'époque, l'absinthe, avait cette propriété là. Et l'amour de Van Gogh pour cette boisson était bien connue. On pense qu'il prenait également de la santonine, un médicament dérivé d'une plante, pour aider sa digestion.
Car Van Gogh avait pour le moins un drôle d'appétit, raconte Jean Milot : « Il semble qu'il avait des goûts morbides pour manger toutes sortes de choses. C'est une pathologie que l'on appelle pica. Il semble qu'il mangeait ses peintures, ses pinceaux, il buvait de l'absinthe, il buvait des rasades de térébenthine. Tous ceux qui avaient des troubles de digestion prenaient de la santonine, et la santonine fait voir jaune. Je pense bien que Van Gogh faisait comme tout le monde et prenait de la santonine. »
Le docteur Paul Ferdinand Gachet aurait possiblement traité Van Gogh pour son épilepsie avec de la digitale, une plante qui a également la propriété de faire voir jaune.
« Van Gogh s'était demandé : " pourquoi j'ai tant de jaune dans mes tableaux ? ". Il y a tout un symbolisme relié au jaune, il y a tout un choix libre aussi relié au jaune, explique François-Marc Gagnon. Ou si vous voulez, si c'est complètement pathologique, il a assumé sa pathologie, il en a fait quelque chose.
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